Un dimanche pas comme les autres
Le 13 janvier 2019, les communautés de notre Unité pastorale ont vécu une Assemblée des chréitiens, la 2ème de l’année pastorale 2018-2019. Voii quelques moments immortalisés en photos :
Le 13 janvier 2019, les communautés de notre Unité pastorale ont vécu une Assemblée des chréitiens, la 2ème de l’année pastorale 2018-2019. Voii quelques moments immortalisés en photos :
C’est bien connu, le temps de Noël est propice aux veillées contées de Noël. Les enfants de la catéchèse de Lessines n’ont pas failli à cette réputation et ont proposé durant la période de Noël une veillée avec l’aide de leurs catéchistes. L’occasion de se replonger dans cette ambiance de Noël.
Pour l’assemblée des chrétiens du 18 novembre 2018, c’est la troupe du KT-âtre de Frasnes qui a pris possession de l’église St Pierre pour une invitation à un repas tr!s spécial.
Voici quelques photos :
De septembre à décembre 2018, les jeunes de notre entité de Lessines ont eu l’occasion de s’exprimer au travers d’une enquête sur leur lien avec la religion et la foi, mais aussi sur leurs rêves pour l’église de demain.
Cette enquête s’inscrit dans la préoccupation de l’Equipe d’Animation en Pastorale pour les jeunes de notre Ville et de ses Villages.
Elle est à présent terminée.
Les résultats de cette enquête seront présentés le dimanche 20 janvier 2019 à 15h00 en la Salle du Foyer Notre-Dame, rue Bonne Nuit à Deux-Acren.
Des groupes de travail seront constitués ensuite afin d’en tirer des conclusions et de proposer des pistes pour l’église de demain pour et avec les jeunes d’aujourd’hui.
De septembre à décembre 2018, les jeunes de notre entité de Lessines ont eu l’occasion de s’exprimer au travers d’une enquête sur leur lien avec la religion et la foi, mais aussi sur leurs rêves pour l’église de demain.
Cette enquête s’inscrit dans la préoccupation de l’Equipe d’Animation en Pastorale pour les jeunes de notre Ville et de ses Villages.
Elle est à présent terminée.
Les résultats de cette enquête seront présentés le dimanche 20 janvier 2019 à 15h00 en la Salle du Foyer Notre-Dame, rue Bonne Nuit à Deux-Acren.
Des groupes de travail seront constitués ensuite afin d’en tirer des conclusions et de proposer des pistes pour l’église de demain pour et avec les jeunes d’aujourd’hui.
L’église Saint-Pierre n’est pas en péril… mais elle rencontre de gros problèmes ! Qui se rend dans l’édifice peut constater les dégâts d’humidité, quand ce ne sont pas de mini inondations qui couvrent le dallage !
Certains se souviendront des travaux de restauration de l’église, en 1951-1952, suite à son incendie de mai 1940. Depuis lors, aucune réparation de grande ampleur n’a été réalisée. Par contre, depuis le début de ce siècle, un dossier de restauration des couvertures ainsi que de certaines parties de façades, est ouvert auprès du service patrimoine de la Région Wallonne. Voici 18 ans que le dossier traine… Voici plus d’un an que la Wallonie attend la remise du dossier final de la part de l’architecte commandité par l’administration communale de la Ville de Lessines en la matière… Pendant ce temps, l’église prend eau et s’abîme un peu plus chaque jour.
En attendant, suite au mauvais traitement réservé à un arbre qui poussait au-dessus du larmier de la grande fenêtre du jubé, en façade ouest, en novembre dernier, l’administration communale a procédé à la pose de lamelles métalliques destinées à empêcher certaines des pierres de ce larmier de chuter sous la poussée des racines de l’arbre (un beau bouleau…). Par ailleurs, la Fabrique d’église a fait procéder au nettoyage et au réparations d’urgences des gouttières et chenaux, l’occasion de réparer (provisoirement) le trou qui s’était ouvert entre la toiture de la chapelle de la Sainte-Trinité et la chapelle sud-ouest des bas-côtés, occasionnant d’importantes entrées d’eau descendant dans l’église via les escaliers de la tour et du jubé.
Ces travaux d’entretien régulier et d’urgence devraient permettre à l’édifice de connaître moins d’attaques dues à l’eau pluviale. Toutefois, il est grand temps que le dossier couvertures/murs soit clôturé afin de permettre à l’administration communale de procéder aux appels d’offre, ce qui signifie que les travaux ne sont pas encore pour 2019…
… et de la chapelle de la Porte d’Ogy.
Pour ceux qui ne seraient pas au courant des soucis rencontrés par la chapelle de Notre-Dame de la Porte d’Ogy, voici quelques nouvelles de ceux-ci !
Début décembre 2018, les travaux commandés par la Fabrique d’église Saint-Pierre ce sont achevés, ce qui signifie que le problème d’humidité descendante devrait être réglé. En effet, suite à l’état d’abandon des anciens établissement Symkens, voisins de la chapelle, la corniche de celle-ci avait non seulement fort souffert mais surtout, n’étant constituée que d’un chéneau de roofing, force avait été de constater l’état de décomposition avancée du matériau.
Si ce problème qui a causé des dégâts à la voûte et aux enduits intérieurs de la chapelle est résolu, il restera à vérifier que l’humidité ascendante, nettement moins importante, n’augmente pas. Encore une fois, le bâtiment voisin à l’état de ruine n’arrange pas la situation de la chapelle. Il reste à espérer que les travaux de construction du bâtiment à appartements commenceront au plus vite afin de rétablir une situation normale.
Evidemment, les travaux de corniche ont pris du temps à débuter. D’une part, il a été nécessaire de connaître la teneur exacte des problèmes, mais, d’autre part, il a été indispensable d’éclaircir l’étrange situation de propriété de la chapelle. La partie avant, construite en 1855, appartenait à l’Association des œuvres paroissiales du Doyenné de Lessines tandis que les deux tiers arrière, édifiés en 1948 afin de remercier Notre-Dame d’avoir protégé la cité au cours de la guerre, étaient propriété de la Fabrique d’église Saint-Pierre. Dans le cadre d’un acte notarié signé en avril 2017, les Œuvres paroissiales ont accepté de rétrocéder la partie avant à la Fabrique qui est désormais l’unique propriétaire de l’édifice. Des contacts avec l’agence immobilière Trawobo, propriétaire du bâtiment Symkens ont également été pris afin d’évoquer les soucis d’humidité de la chapelle et de savoir quand les travaux de construction commenceraient.
À présent, il faudra laisser le temps aux murs de sécher, tout en gardant en vue le problème d’humidité ascendante. En attendant, l’année 2019 sera mise à profit pour établir les devis nécessaires relatifs à la rénovation du campanile, de l’installation électrique et de la mise en lumière intérieure, aux travaux d’enduits et de peinture intérieure, de restauration et de protection des verrières, de réparation des faux-lambris et, enfin, de restauration de l’autel dont le retable remonte au XVIIe siècle.
Que l’on se rassure : non la chapelle de Notre-Dame de la Porte d’Ogy n’est pas près de disparaître, bien au contraire ! Elle entame une cure de jouvence qui devrait durer quelques années et qui lui rendra son lustre d’antan.
Pour la Fabrique d’église St Pierre,
Gérald De Coster
Par Gérald Decoster,
Fabrique d’église Saint-Pierre
Saviez-vous qu’en octobre et novembre 1918, l’église Saint-Pierre à Lessines avait été occupée ?
Par qui ? Diverses troupes allemandes, évidemment.
Les archives de la Fabrique d’église conservent quatre factures émanant de diverses entreprises et maisons lessinoises qui, suite à ces occupations – elles se déroulèrent en plusieurs temps entre le samedi 12 octobre et le vendredi 8 novembre – furent approchées pour divers travaux et le remplacement de quelques pièces détériorées par les soldats du Keizer.
La facture de Louis Blomart explique qu’il fut requis par l’autorité Allemande, en octobre et novembre 1918, pour divers travaux dont les frais, 333 francs de l’époque (équivalent à 570€ actuels, mais tout est relatif) devront être réglés par la Fabrique ; ce document manuscrit permet de déterminer les quelques jours où l’édifice fut occupé :
Afin d’effectuer ces divers travaux, Louis Blomart fournira les torchons, brosses et 3 kg. de savon.
A travers cette liste, on peut déterminer que des soldats allemands occuperont l’église du 12 au 13 octobre, ensuite du 21 au 26, du 27 au 31 octobre et du 7 au 8 novembre 1918. Diverses dates, suivies de remises en ordre de l’église qui prouvent que l’on assista au passage successif de divers corps armés ennemis quittant la Belgique. Au-delà de la valse des déménagements, des réaménagements et des nettoyages, ces occupations entraineront quelques dégradations,
Ainsi, la Veuve A. Fréteur fournira, en date du 25 novembre 1918, « 4 globes pour les suspensions à gaz détruits (sic) par des soldats lors de l’occupation de l’église » (24 francs). La maison de chaudronnerie en cuivre Frezin Frères (Grand’ Rue, 60) fournira, le 31 octobre 1918, 14 manchons à gaz, un grand manchon acier, 2 becs en cuivre complets, assurant également le placement et, le 2 novembre, 1 verre à gaz, 1 manchon à gaz, 3 abat-jours en fer blanc, assurant également la réparation d’un bec (à gaz), le tout pour la somme de 75,75 francs. Enfin, Monsieur J. B. Bruneau-Delhelle, rue (l’actuelle chaussée) de Renaix, déclare « Avoir rempaillé et raccomodé (sic) cent dix chaises, détériorées par les soldats allemands, fourni la paille et les bois, travail compris » pour 337 francs, un travail réalisé bien plus tard puisque la facture est datée du 10 juin 1922.
Ces documents et ce qu’ils racontent constituent un détail dans la longue histoire de l’église Saint-Pierre mais ils prouvent que, si l’édifice était sorti indemne du Premier Conflit mondial, il allait régler son tribut à l’extrême fin de celui-ci… Pourtant, ce n’était là rien de bien grave quand on sait ce qui arrivera le matin du 11 mai 1940. Mais ça, c’est une autre histoire.
Durant la semaine de Toussaint, deux jeunes du groupe des Mikados se sont rendus dans la communauté de Taizé afin de vivre une expérience spirituelle et humaine. Pour une question d’organisation, il était plus facile de se rattacher à un autre groupe de jeunes de Tournai, qui lui-même s’est rattaché au groupe du Service Diocésain des Jeunes de Liège. C’est donc chez les Filles de la Charité de Grâce-Hollogne que l’aventure commence, où nous passons une agréable soirée avant de prendre le bus au petit matin tous ensemble, soit environ 80 personnes.
Nous arrivons à Taizé à la nuit tombante et sous la pluie. Le temps de s’installer et nous partons faire la file pour notre premier souper : cela nous parait un peu frugal après une si longue route…
Après le repas, direction le premier temps de prière où nous découvrons l’église, les frères ainsi que les chants si particuliers de Taizé. Déjà un temps de recueillement qui nous invite à entrer dans l’atmosphère de cette communauté. Le lendemain matin commence notre véritable aventure : 7h30, la messe, suivie de la prière du matin. Nous découvrons l’Evangile en 4 langues. 9h00, voici enfin le moment du petit déjeuner tant attendu. Vers 10h00 débute notre enseignement biblique avec le frère Ulrich (pour les + 17 ans francophones) suivi d’un temps de partage en petits groupes.
Ensuite, nous nous retrouvons tous ensemble à l’église pour la prière de midi de laquelle nous sortons le ventre prêt à accueillir le dîner. Après la digestion, vient le temps de se rendre utile en accomplissant les différentes tâches : il y en a pour tous les goûts, du nettoyage à l’accueil en passant par l’entretien des lieux, mais le tout en gardant le sourire !
Une fois ceci terminé, nous apprécions d’autant plus le goûter avec le fameux thé de Taizé suivi des carrefours au choix avec des thèmes d’actualité en rapport avec les jeunes et la religion au sens large. Nous voici arrivés à l’heure du souper, pour lequel nous faisons également la file et où nous sommes servis par d’autres jeunes.
Pour terminer la journée, nous nous rassemblons à l’église pour le dernier temps de prière de la journée à la suite duquel chacun est libre de faire ce qu’il souhaite : visite à l’Oyak pour boire un verre, retour au calme dans sa chambre ou prolonger son temps de recueillement accompagné des chants ou encore aller se confier aux frères toujours disponibles et à l’écoute.
Comme nous étions à Taizé pour la fête de la Toussaint, nous avons pu participer à la veillée d’adoration de la croix le mercredi soir et à l’Eucharistie avec le rite de la lumière le jeudi soir. Deux moments particulièrement chargés d’émotions qui se déroulent normalement chaque fin de semaine à Taizé.
Que retenons-nous de ce voyage ?
Qu’il existe de belles personnes venant de tous horizons avec lesquelles on peut partager des moments de complicité et de fraternité. Que des chants simples et dans toutes les langues peuvent nous porter à la prière tout comme des superbes moments de recueillement en silence malgré le nombre de jeunes présents (jusqu’à 2000 le jeudi soir). Qu’un voyage à Taizé vaut la peine d’être vécu et revécu autant de fois qu’on le souhaite.
Valentin & Virginie, accompagnés de Sœur Sophie & Véronique
Une guitare, une voix et un coeur.
Laurent GRZYBOWSKI
L’empêcheur de chanter en rond
Persuadé qu’une chanson peut changer le monde, Laurent Grzybowski sillonne depuis 25 ans les routes de France et d’Europe pour chanter la paix et la fraternité.
Une guitare qu’il aime faire vibrer, une voix chaude et sincère, une personnalité directe et rayonnante, Laurent finit toujours par allumer le feu.
L’entrée est gratuite.
Une collecte sera proposée à votre bon coeur et selon vos moyens.